La vie de Paulette racontée par Paulette 3
Je, enfin nous venons de passer des moments difficiles. deux déménagements à 6 mois d'intervalle ont failli faire péter la machine. ce fut odieux, les décisions étaient celles de Michel, de Patrick, j'ai cru à un moment foutre le camp et ne revenir que plus tard. Mais où aller et pourquoi?
Milliardaires de souvenirs de bibelots, d'outillage, de meubles, de vaisselle, nous pensions partager mais nous n'avons pas pu. J'ai cependant donné à Jocelyne, Martine et Frédérique quelques draps, peut être en tout 18. S'il fallait raconter les détails, les états d'âme, les prises de geules, les fatigues, 200 pages n'y suffiraient pas et mon courage n'irait pas jusque là.
Et voilà depuis le 5 décembre 1995 nous dormons, logeons, vivons et apprécions une merveilleuse petite maison chauffée, tapissée, confortable et retrouvée, car curiosité du destin, je me suis retrouvée 62 ans après mon arrivée à Assérac dans la même maison, celle où mes parents sont venus habiter alors que j'avais 8 mois. Est ce ça ou plutôt la stabilité retrouvée, je ne le saurais dire mais ce qui est sûr c'est que ce 26 rue de l'espoir, on aurait dit avant ce Pont Bérin, c'est vraiment un endroit très, très, oui très très bien.
Si le courage revient je reprendrai alors un récit plus complet sur 1995.
27 mars 1996
Milliardaires de souvenirs de bibelots, d'outillage, de meubles, de vaisselle, nous pensions partager mais nous n'avons pas pu. J'ai cependant donné à Jocelyne, Martine et Frédérique quelques draps, peut être en tout 18. S'il fallait raconter les détails, les états d'âme, les prises de geules, les fatigues, 200 pages n'y suffiraient pas et mon courage n'irait pas jusque là.
Et voilà depuis le 5 décembre 1995 nous dormons, logeons, vivons et apprécions une merveilleuse petite maison chauffée, tapissée, confortable et retrouvée, car curiosité du destin, je me suis retrouvée 62 ans après mon arrivée à Assérac dans la même maison, celle où mes parents sont venus habiter alors que j'avais 8 mois. Est ce ça ou plutôt la stabilité retrouvée, je ne le saurais dire mais ce qui est sûr c'est que ce 26 rue de l'espoir, on aurait dit avant ce Pont Bérin, c'est vraiment un endroit très, très, oui très très bien.
Si le courage revient je reprendrai alors un récit plus complet sur 1995.
27 mars 1996